Grève du 18 décembre 2006 - Rassemblement à Toulon
par
A l’appel de l’intersyndicale 2nd degré du Var : SNALC- CSEN, SNES-FSU , SNEP-FSU, SNUEP-FSU, SNCL-FAEN, SNFOLC, SUD-EDUCATION, SDEN - CGT
Rassemblement à 10h
parvis des Droits de l’Homme à Toulon
puis manifestation vers l’IA
Pour soutenir les représentants des personnels lors du CTPM, L’intersyndicale du second degré du Var SNALC- CSEN, SNES-FSU , SNEP-FSU, SNUEP-FSU, SNCL-FAEN, SNFOLC, SUD-EDUCATION et SDEN – CGT, réunie ce 12 décembre 2006, appelle tous les personnels dans l’unité à la
GREVE LUNDI 18 DECEMBRE 2006
Sur la base définie par l’intersyndicale nationale, à savoir :
CNGA, FEP-CFDT, SE-UNSA, SGEN-CFDT, SNALC-CSEN, SNCL-FAEN, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNETAA EIL, SNFOLC, SNPEFP-CGT, SNUEP-FSU, SUD-EDUCATION, SUNDEP, UNSEN-CGT
Décret sur les obligations de service des enseignants
L’intersyndicale nationale appelle les personnels du second degré à la grève le 18 décembre.
L’intersyndicale du second degré qui représente plus de 99% des personnels manifeste depuis maintenant plusieurs semaines sa totale opposition au projet de décret sur les obligations de service des enseignants de second degré. L’objectif premier de ce texte est de supprimer des postes dans le cadre d’une logique budgétaire qui a déjà conduit à une dégradation sans précédent des enseignements de second degré.
Le ministre a clairement exprimé, lors de l’audience qu’il a accordée à l’intersyndicale au bout de 5 semaines, le 29 novembre, qu’il n’entendait pas tenir compte de cette opposition. Le ministre a choisi de passer en force en convoquant le Comité technique paritaire ministériel (CTPM) le 11 décembre et en inscrivant à son ordre du jour le projet de décret. Devant le refus de siéger de la parité syndicale, il re-convoque le CTPM le 18 décembre sur le même ordre du jour.
L’intersyndicale réunie le 11 décembre décide en conséquence d’appeler les personnels du second degré à la grève le 18 décembre et à manifester partout en France. Les personnels signifieront ainsi au Ministre leur double exigence de retrait du projet de décret et d’ouverture de véritables discussions pour que des réponses soient apportées à la nécessaire prise en compte des réalités du métier et que soient améliorées les conditions de son exercice.